La femme d'aujourd'hui ?

La femme d'aujourd'hui ?

17 févr. 2011

Sommaire

Introduction

1. Les combats menés face aux stéréotypes jusqu'au milieu du 20ème siècle
           A. Première vague féministe : Du début du siècle à 1945
                B. Deuxième vague de féminisme : De 1960 à 2001

2. Les stéréotypes actuels et les combats d'aujourd'hui
           A. La diffusion des stéréotypes 
                B. Les associations féministes actuelles

Conclusion

Remerciements 

Sitographie 

Commençons par le commencement...

Depuis la nuit des temps, les femmes sont considérées comme inférieures aux hommes. Dans la Bible, la femme est responsable des fléaux de la Terre et a été créée pour servir l'homme. Jusqu'au développement des mouvements féministes au 19ème siècle, elle n'avait pratiquement aucun rôle dans la société . L’histoire de la femme a subit de nombreux remaniements au cours du siècle. Beaucoup d’entre eux ont permis de faire évoluer la cause des femmes dans le monde entier grâce à l'implication et au courage de certaines mais aussi à l’application de nouvelles lois. La plus grande lutte a été de vaincre la "domination" des hommes. Mais ces luttes sont toujours d’actualités.
            Comment les combats des femmes ont-ils modifié leur image et leur mode de vie ?
            Pour répondre à cette problématique, en premier lieu, il faudra étudier le combat que les femmes ont mené face aux stéréotypes jusqu’au milieu du 20ème siècle. Puis dans un deuxième temps, nous discuterons des stéréotypes et des combats actuels. 


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1. Les combats face aux stéréotypes jusqu'au 20ème siècle

Olympe de Gouges (1748-1793)
            Nous allons voir de quelle façon les combats ont influencé le mode de vie de la femme du 20ème siècle tout en constatant que certaines, telle Olympe de Gouges, ont commencé dès le 18ème siècle à prendre le parti des femmes. Cette dernière est considérée comme l'une des premières féministes grâce à son ouvrage Les déclarations des droits de la femme et de la citoyenne. Olympe de Gouges sera guillotinée en 1793 pour avoir prôné l’émancipation de la femme et l’égalité des sexes.  On voit donc qu’à l’époque, les femmes n’avaient pas de pouvoir reconnu et étaient considérées comme le « sexe malheureux ». A ce moment là, les combats de féministes étaient rares. C’est bien plus tard, au 20ème siècle, que les femmes avec la mode et leurs combats vont se libérer.


Couverture du journal hebdomadaire La Française

          En 1901 est créé le "Conseil National des Femmes Françaises". C'est la première fois que les femmes se réunissent en association pour lutter en faveur de leurs droits. La présidente d'honneur élue en 1903 est Isabelle Bogelot et la présidente se nomme Sarah Monod. Ces femmes opèrent des actions discrètes et non violentes par le biais de cette association laïque et non médiatisée qui respecte les valeurs morales. Jeanne Schmahl créée l'association "l'Avant Courrière" en janvier 1893 qui a pour but de rallier à sa cause les femmes appartenant à la bourgeoisie. Jeanne Schmahl, pour réussir, n'hésite pas à s'entourer de femmes ayant de l'ambition telles que la duchesse d'Uzès, Juliette Adam et Jane Misme qui créee le journal hebdomadaire La Française. En 1903, Marie Curie est la première femme à recevoir le Prix Nobel de physique. Ensuite, les femmes mariées gagnent un peu plus d'indépendance en obtenant le droit de disposer de leur salaire grâce à la loi du 13 juillet de 1907, loi adoptée, après un long combat de treize ans par Jeanne Schmalt (1846-1915) et qui a fait voler en éclats le stéréotype de la femme sous l'autorité de son mari. Pourtant ce salaire reste très faible (environ un franc par jour, pour une femme, contre dix à onze francs journaliers, pour un homme) et les femmes travaillent, essentiellement, dans des ateliers de couture ou dans le secteur tertiaire. Les ouvrières, désirant une émancipation, ont de dures conditions de travail. C'est donc un premier grand changement psychologiquement car les femmes ne se sentent plus assistées financièrement mais le temps de travail excessivement long et la misère restent un poids moral pour ces femmes.

Durant la Première Guerre Mondiale, les hommes étant au front, les femmes apprennent à gérer seules le foyer et l'exploitation agricole et en cette période de guerre, les actions féministes se font rares.

Le commencement de l'émancipation de la femme
Au sortir de ce conflit mondial, les femmes retrouvent leur place imposée par les hommes mais le peuple français aspire à se divertir. Les cabarets se multipliant, les femmes adoptent des robes plus courtes, portent la coupe à la garçonne grâce à la flapper qui est un mouvement tout droit venu des États-Unis. Cette modification est très mal vue par les hommes. Mais l'apparition du pantalon va encore plus les déranger. Les femmes voient cette mutation comme une avancée égalitaire. Tout comme les hommes, elles fument, travaillent, et souhaitent s'émanciper. L'épanouissement féminin agace la gente masculine qui voit s'échapper son autorité. Cependant, après la guerre, les valeurs traditionnelles au sein du foyer sont conservées. La femme a donc toujours un rôle de mère et d'épouse. Les femmes auront goûté de l'émancipation mais aucune loi ne "libère" encore la femme française. Cette indépendance est donc morale mais pas légale. En revanche, les femmes qui après la guerre continuent à travailler en tant qu'ouvrières obtiennent le droit de se syndiquer en 1920 mais elles seront peu à pouvoir en profiter à cette époque là.


Proclamation invitant les femmes à se joindre à l'effort de guerre



Puis arrive, l'évènement tragique qu'est la Seconde Guerre Mondiale. Les usines se lancent dans l'armurerie pour approvisionner les besoins de la guerre. De nombreuses femmes travaillent à la place des hommes dans les usines et beaucoup sont employées dans le secteur médical et notamment en tant qu'infirmières. Les femmes travaillant dans les usines d'armurerie s'appellent les "munitionnettes". Durant la guerre, aucun combat féministe n'est vraiment mené. Mais pendant la guerre, en 1942, la loi supprimant l'incapacité juridique des femmes va être adoptée. C'est après la guerre que les combats reprennent : en 1944, les femmes, au travers de campagnes, se battent pour obtenir le droit de vote. C'est l'ordonnance du 5 octobre 1944 qui leur accorde ce droit. Elles pourront voter pour la première fois aux élections municipales du 29 avril 1945 avec l'accord de leur mari cependant. Il faut également savoir que la France était en retard sur ses voisins européens à ce sujet là, car elle est l'un des derniers pays à accorder le droit de vote aux femmes, presque un siècle après avoir voté la loi sur le suffrage universel masculin. En revanche, comme le dit l'expression "un pas en avant, un pas en arrière", les femmes ne peuvent pas avorter et la loi se renforce en 1942 : l'avortement auparavant considéré comme un délit est désormais passible de la peine de mort. Une fois la guerre terminée, les femmes doivent, de nouveau, retourner à leur rôle attitré, c'est-à-dire mère et femme au foyer afin de "repeupler" la France. Ainsi, les hommes politiques décident de rallier les femmes à l'effort de guerre en les faisant se sentir citoyennes et importantes, en temps de guerre, mais à peine l'armistice signé, de nouveau, les femmes se retrouvent sous la dépendance de leur mari. Ce n'est que bien plus tard, qu'elles vont se battre et agir pour regagner leurs droits définitivement. 



Campagne en faveur du droit de vote en 1944




 
Manifestation féminine de mai 68 
    
     La période de la fin des années 1960 est riche en progrès pour les femmes françaises. Sur le plan juridique, elles obtiennent le droit d'exercer une profession sans l'autorisation maritale et ont plus de pouvoir sur les biens communs du couple en 1965. Suite à onze propositions de loi sur la contraception, la loi Neuwirth est votée en 1967. Celle-ci autorise la pilule contraceptive.  C'est une révolution dans l'Histoire de la femme. Arrive ensuite l'épisode de "mai 68" qui va également bouleverser la vie des femmes. Les "féministes soixante-huitardes" font voler en éclats les stéréotypes qui les contraignent dans leur épanouissement : la "femme-objet", "la mère poule"etc..  Elles vont s'imposer à l'aide de slogans :"Un enfant si je veux, quand je veux"; "Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent!" et "Il faut arrêter de croire que la femme est pacifiste". La vague "Mai 68" affranchit les femmes, elles aspirent à faire de plus longues études, ont de l'ambition, se libérent sexuellement et sont plus égalitaires des hommes. L'idée de l'égalité des sexes apparaît vraiment à cette époque là. Dans la continuité de mai 68, le 26 août 1970, des femmes se regroupent, afin de dénoncer l'inégalité des sexes et le manque de reconnaissance, sur la tombe du "Soldat inconnu" et brandissent des pancartes avec le slogan "Plus inconnu que le soldat inconnu, sa femme!". Ces féministes se feront arrêter mais de cette manifestation naitra le "Mouvement de Libération des femmes". Contrairement aux associations en faveur de la femme du début du siècle, ce comité va faire de la presse et des médias ses principaux atouts et va agir publiquement. Les principales figures de ce mouvement sont Antoinette Fougue, Simone de Beauvoir (auteure de Le deuxième sexe en 1949 qui milite en faveur de l'émancipation féminine et de l'acquisition de son indépendance), Christine Delphy (féministe matérialiste). Ces deux dernières ont fondé Questions Féministes et Nouvelles Questions Féministes, revues en faveur des droits des femmes. De plus, le journal le Nouvel Observateur, en collaboration avec le "Mouvement de libération des femmes" (MLF), publie un article qui fait polémique : 343 femmes ont signé une pétition avouant avoir subi un avortement alors que celui ci est illégal depuis 1942. Parmi les 343 signatures, on note les noms de Catherine Deneuve, Jeanne Moreau, Simone de Beauvoir etc... A la suite de cet article fracassant, le procès de Bobigny déclare Marie-Claire Chevalier innocente après plusieurs semaines de procès. Cette femme, qui avait reçu le soutien du MLF, a été jugée pour avoir subi une Interruption Volontaire de Grossesse mais la "loi Veil" en 1975, vient compléter la loi de Neuwirth, et dépénalise l'avortement sous certaines conditions (selon la volonté de la mère, s'il y a une maladie grave et incurable, selon l'autorisation d'experts et s'il n'y a pas d'autres alternatives). C'est Simone Veil qui s'est battue pour l'adoption de ces lois.
La "Journée internationale de la femme" est officialisée le 16 décembre 1977. La période des années 1980 est caractérisée par le phénomène de "Wonder Woman". Les femmes souhaitent se battre pour entrer dans la vie professionnelle. Elles veulent que leurs qualités physiques et intellectuelles soient reconnues. Ainsi, elles valorisent leur statut social. Mais bien que depuis décembre 1972, les rémunérations de salaires se doivent d'être égales, les femmes n'ont pas la même place que les hommes dans l'entreprise et les mentalités ont du mal à changer. Dans la même année, la loi sur le viol est votée. Désormais, le viol est puni de 15 ans de réclusion criminelle. Dans la même lignée seront votées, la loi Roudy, sur le remboursement de l'IVG, mais aussi sur l'égalité professionnelle entre hommes et femmes en 1982 et 1983, respectivement. Les femmes auront également le droit d'acoller leur nom à celui de leur mari, à la naissance de l'enfant, qui aura donc un nom composé, en 1985. Entre 2000 et 2001, quatre lois importantes pour les femmes seront votées : la loi sur la parité dans les fonctions électives, la loi relative à la contraception d’urgence gratuite pour les mineures, la loi sur l’obligation de négocier l’égalité professionnelle et la loi autorisant le congé paternel de 11 jours

            Ainsi, nous pouvons constater qu'il y a eu deux vagues de féminisme durant ce siècle : la période durant laquelle les deux guerres ont éclaté et les changements que ces deux évenements ont apportés et la période à partir des années 60 jusqu'en 2001. Et même si les femmes du XXème siècle ont fortement contribué à leur émancipation et à l'évolution de leur mode de vie, les mentalités restent traditionnalistes et les hommes n'acceptent pas leur perte d'influence sur elles. Pour continuer l'oeuvre de leur aïelleules, les femmes "nouvelle génération" continuent les combats en faveur de la gente féminine.

2. Les stéréotypes et combats actuels

Une Barbie
            Nous allons démontrer que les stéréotypes sont le plus souvent imposés aux filles et notamment aux jeunes filles par des jouets tels que les poupées Barbie, un exemple parmi tant d'autres. Cette poupée représente la "femme parfaite" : blonde, fine, avec de grands yeux et une plastique de rêve... La plupart des petites filles voient en Barbie leur modèle et la femme qu'elles aimeraient devenir. Or de nombreuses filles, en grandissant et notamment dans la période de leur adolescence, sont dans une position de mal-être et s'imposent beaucoup trop de contraintes pour correspondre aux critères de beauté instaurés depuis l'enfance : être mince, bien maquillée, habillée élégamment, bien coiffée etc. Les femmes se posent des contraintes pour arriver à l'image d'une femme "idéale" c'est-à-dire qu'il faut assurer sur tout les plans : vie professionnelle, vie sociale, vie sexuelle, vie familiale, beauté et intelligence. Aucune erreur n'est permise. Une erreur venant d'une femme est immédiatement mise en cause comparée à celle d'un homme. Par exemple, si une femme n'est pas toujours adroite dans la façon de changer son bébé, elle va être plus jugée car selon certaines personnes à la mentalité très traditionalistes, le rôle des hommes n'est pas de langer un bébé. Le défi est donc perdu d'avance pour les femmes car elles n'ont aucun droit à l'erreur. Certaines frôlent la dépression ou moins catégoriquement sont mal dans leur peau à cause de toutes ces obligations. De plus, la dictature de la minceur est née, par les couvertures de magazines, les mannequins de défilé, la télévision et tous les moyens de médiatisation. Les magazines pour petites filles et adolescentes renvoient une image de femme bien particulière. Les jeunes filles et jeunes femmes veulent, trop vite, devenir "grandes" pour ressembler à ces femmes de magazines. Et plus elles avancent dans l'âge, plus elles deviennent exigeantes avec elles mêmes.

Bande dessinée conçue par nos soins, dessinée par une personne de notre entourage 

 
Ensuite, le stéréotype de la blonde parfaite est véhiculé par la télévision. Effectivement, prenons l'exemple de Victoria Silvstedt. Cette animatrice aux côtés de Christophe Dechavanne dans l'émission populaire La roue de la fortune donne une image de fausse ingénue, blonde, bien proportionnée et très sexy alors que lorsque Victoria se confie aux journalistes, elle évoque sa carrière de skieuse, brisée à cause d'une grave blessure mais aussi ses prestigieuses études qu'elle a abandonné pour se lancer dans le mannequinat. Lorsqu'on lit ses interviews, on s'aperçoit qu'elle n'est pas idiote et joue un rôle en se faisant passer pour une blonde naïve. Pour exemple, nous avons relevé un extrait d'interview :
"- Comment regardez-vous votre personnage de "blonde" de la télé ? Vous en jouez ?
- Oui bien sûr ! Dans la vraie vie, je suis très différente vous savez... La télé c'est un business et j'ai appris à travailler dans une culture américaine."
Nous pouvons aussi prendre l'exemple d'Eve Angeli qui joue de son image et de sa "naïveté" pour en faire son "business".

Eve Angeli

 Ces femmes, selon nous, véhiculent une mauvaise image de la femme et contribuent aux stéréotypes. Heureusement, des associations féministes existent encore pour agir en faveur des femmes et pour la réfutation de ces barrières.  







Exemple d'affiche de l'association "Ni putes ni soumises"
          Fort heureusement, des militantes se battent chaque jour pour permettre aux femmes d'aujourd'hui de contribuer à la disparition de ces stéréotypes. Des associations telles que "Ni putes ni soumises" luttent en faveur des droits féminins. Cette association a été créée le 1er février 2003,  dans le but de briser le silence régnant dans les cités  défavorisées face aux situations féminines et de lutter contre les violences et les injures verbales, en hommage à Sohane Benziane, 17 ans, brûlée vive quelques mois plus tôt pour s’être affichée avec son petit ami.. Cette association a aussi pour vocation de lutter contre les pressions faites aux femmes pour porter le voile, arrêter l'école à l'âge de 16 ans, se marier tôt et toutes les autres pressions que les jeunes filles souvent immigrantes subissent. Ce comité compte 30000 sympathisantes le 8 mars de la même année. L'AWID (association pour les droits de la femme et le développement) a mis une plateforme de jeunes féministes en ligne afin que toutes les personnes cherchant des informations sur la lutte pour les droits des femmes puissent y avoir accès.
"SOS Sexisme" est une association fondée en 1988 est encore en activité aujourd'hui. A l'aide d'un numéro de téléphone, les victimes de remarques ou actes machistes peuvent se confier. 
Il existe encore de nombreuses associations agissant contre le non respect de la femme. Contrairement, aux organisations du XXème siècle, les plus récentes se servent des médias et la presse pour sensibiliser, toucher et inciter les femmes victimes à se rallier à leur cause afin de témoigner et d'agir en faveur des femmes.

Pour la suite, il vous faut cliquer, une nouvelles fois sur "Messages plus anciens"

L'Histoire n'est pas terminée mais à nous d'écrire la suite...

           Ainsi, nous avons vu tous les combats menés par les femmes pour dans un premier temps obtenir des droits fondamentaux tel que le droit de vote mais aussi dans un deuxième temps, comment les femmes, à l'heure actuelle, se battent encore pour que les droits obtenues soient respectés. Il reste, cependant, un long chemin à faire pour parvenir à une femme complètement libre, émancipée et égale des hommes. Les femmes d'avant se sont battues pour que nous, jeunes femmes du 21ème siècle naissons avec des droits. Nous tenons à montrer qu'elles ont eu le courage de se lever devant la société  et d'exprimer leurs opinions, pas seulement pour elles mais aussi pour les générations suivantes. A nous de reprendre le flambeau, ce TPE étant un commencement dans nos engagements.
Cependant, parfois les mouvements féministes ne laissent pas de place aux hommes et certaines associations sont exclusivement réservées aux femmes. Or les mentalités commencent à évoluer et il faudrait que les hommes reconnaissant l'égalité des sexes (ils sont, pour notre plus grand bonheur, de plus en plus nombreux) puissent intégrer des comités féministes s'ils le souhaitent car certains sont prêts à agir pour un monde plus égalitaire...

Remerciements

           Nous remercions tout d'abord ces femmes qui ont marqué notre Histoire, les Simone Veil, Marie Curie, Monique Wittig, Colette Guillaumin, Nicole-Claude Mathieu et toutes les autres femmes sans qui ce TPE n'aurait pas été possible. Au fil des années, elles ont permis à nos aïeules de gagner un peu plus en indépendance, de les laisser libres de leurs choix et de leurs opinions. Sans ces combats, peut-être n'irions nous pas à l'école, notre destin serait tracé à notre naissance et nos vies prédestinées.
Nous remercions également les personnes qui nous ont conseillé et encadré lors de la réalisation de notre projet.
En espérant que ce blog vous aura plu. 
N'hésitez pas à laisser vos commentaires! 

Pour découvrir la sitographie, cliquer sur "Messages plus anciens".

Sitographie

          Pour construire ce blog, nous avons utilisé de nombreux sites et d'ouvrages : 
- http://www.niputesnisoumises.com/ → Ni putes ni soumises 
- http://www.feministes.net/liens.htm → Liste d'associations
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_femmes  → Histoire du féminisme depuis la nuit des temps
- Les femmes en France de 1880 à nos jours, Yannick Ripa 
- http://yfa.awid.org/fr/ → Site de l'AWID